Donc, nous étions, de nouveau, dans un mini avion en route pour récupérer nos sacs à Medellin. A peine le temps de prendre nos affaires chez Lorenzo (notre Airbnb) que nous voilà en route pour Jardin (le plus beau village de cette région si on en croit le Lonely Planet).


Jardin

Un aller retour vite fait : « gare des bus – Lorenzo - gare des bus », il est 17h30, on prend notre petit bus vers la ville, située à 3h de là.

Un voyage sans souci, un trajet vers notre hostel un peu excentré en tuc-tuc, et on peut prendre possession de notre tente « pas chère pas chère » dans le jardin de notre hostel de Jardin (prononcer « Rardinne » - plus ou moins).


Ca nous aura fait une bonne journée de voyage avec pas mal de moyens de transports différents (à pieds, en bateau, en avion, en taxi, en autobus et en tuc-tuc !).


Notre hostel s’appelle : « Canto del agua ». On a choisi une tente car on avait explosé notre budget à Nuqui, et parce qu’une tente c’est vraiment moins cher (10€ pour deux par nuit avec petit déjeuner).


Notre tente s’avérera un peu petite mais très bien, principalement car elle se trouve dans un lieu aménagé. Elle est sur un plancher surélevé et sous une armature bâchée, ce qui permet de mettre ses sacs en-dehors. C’est pas mal finalement. Bon, par contre, on ne savait pas la fermer, on ne peut pas tout avoir, dira-t-on… (on solutionnera ce manque d’intimité en mettant une couverture par-dessus l’ouverture)


Bien fatigués, on n’aura pas le courage de retourner dans le « centre ville » pour manger (10 minutes à pieds, quand même!)… du coup, on se fait livrer une pizza (pas mauvaise du tout ! Bien grasse à souhait) et au dodo !


Le lendemain, on ira faire une petite rando. Un des points forts de l’hostel est que chaque matin, à 10h, ils organisent une promenade (petite ou grande, ça dépend du volontaire qui l’organise). Celle-ci était petite, 2h tranquille avec une pause dans une rivière (très froide) mais où certains étaient quand même assez fous pour s’y baigner. Ca permet également de faire connaissance avec les autres personnes de l’hostel, qui s’avèrent être bien sympathiques. L’ambiance est bien détendue tout en restant tranquillo. On ira d’ailleurs dîner tous ensemble et nous balader dans cette charmante ville de Jardin. C’est une petite ville toute colorée ; les principaux touristes sont de Medellin (ils viennent y passer le w-e). Elle se trouve dans la montagne mais ce sont des montagnes douces où l’on se dit que l’on peut y grimper sans que ce ne soit trop dur… Les maisons sont toutes peintes de couleurs différentes (enfin, surtout les bas relief).

Le temps est parfait, il y a du soleil, il fait 25°, donc pas trop chaud ni trop froid… C’est parfait on vous dit.

L’excursion à faire dans le coin c’est aller visiter la « Cueva del Esplendor ». Une cascade du coin.


On se renseigne donc pour savoir comment y aller seul. Il y a bien des tours pas trop chers mais on se dit qu’on va essayer d’y aller solo, pour une fois. Plus facile à dire qu’à faire. Après nous être renseignés auprès de l’agence de tours, toutes les autres personnes/agences contactées nous ont renvoyés...à cette même agence. Et impossible de leur faire montrer où la cueva se trouve sur la carte (même à peu près)...avec un peu d’imagination, on pourrait même croire à de la mauvaise volonté. Sans compter que le peu d’information qu’on obtient diffère d’une personne à l’autre. Soit c’est à 2h de marche, soit à 6h de marche, soit il y a des combis, soit il n’y a que la fameuse agence qui y va...Bref, on est perplexe…


On finit par trouver une jeep qui y va, mais elle part à 5h du matin, et elle revient à 16h...


En rentrant à l’hostel, on en parle aux autres et la décision est prise : on partira à pieds à 4 le lendemain, à l’aventure, afin de trouver cette grotte et cette cascade. Ne sachant pas pour combien de temps on en a, on décide de partir à 8h du matin.


Le lendemain, en bon belges, nous, on est prêts à 7h55, chaussures au pieds, sac au dos. Sauf que, entre temps, d’autres personnes ont trouvé l’idée sympa et se sont jointes à l’escapade. Finalement, on sera 8 (quasi tout l’hostel) et on ne partira qu’à 9h...pour aller faire des courses en ville pour le pique-nique. Du coup, on ne sera vraiment en chemin que vers 9h30…


Le chemin de départ, on le connaissait, on l’avait repéré à l’hostel. Pour la suite, il fallait demander son chemin. Et pas qu’une fois, vu le nombre d’embranchement qu’il y a... Mais on s’en sortira sans problème, même qu’on ne se perdra pas ! (dingue!)


Le chemin en soi n’est pas exceptionnel, c’est une large piste, mais la vue, elle, est très très belle et la nature est luxuriante. Mais la promenade n’est pas de tout repos non plus. C’est qu’il fait beau et il y a du soleil, mais il fait beau et il y a du soleil. Et quand on monte et qu’on monte, ça ne simplifie pas les choses !

Vers 14h, on arrive enfin à l’entrée...de la propriété où se trouve la fameuse cascade. C’est qu’ils l’ont privatisée ! Il faut payer 20 000 pesos par personne et attendre un « guide ». Une fois arrivé, notre guide nous emmène à la cascade (bah oui, c’est pour ça qu’il est là), qui en jette pas mal. Elle tombe dans une grotte dans laquelle on peut sauter et, théoriquement, nager ! Mais ici aussi, l’eau est très froide (5°) et autant dire qu’une fois qu’on a sauté dedans, on a qu’une envie, en sortir avant d’être transformé en bonhomme de glace. Mais on est contents, la ballade était cool et le chemin valait la peine :-)

Pour le retour, il y a débat. Quand on est arrivés à la ferme-propriétaire, on a croisé d’autres gens de l’hostel qui étaient venus par un autre chemin, en disant que c’était facile, bien joli et plus court. Du coup, la question se pose de savoir si on va rentrer par le chemin par lequel on est venu ou si on va faire la « boucle ». On regarde un peu mais on ne voit aucune autre chemin, ni sur viewranger, ni en vrai. Clara est fatiguée et a des ampoules (au pieds) et il est déjà 15h (la nuit tombe à 18h). Elle décide de choisir la sécurité et reprendre le même chemin, car il y a potentiellement un collectivo qui passera par là vers 17h, au pire. Pierre l’accompagnera pour ne pas la laisser seule même si son cœur voudrait aller avec les autres, qui décident finalement tous de rentrer par le chemin plus ou moins indiqué par les autres (au départ, on était 5 à vouloir rentrer par le même chemin, mais les 3 autres se sont laissés entraîner vers the « danger zone »).

Nous rentrerons tranquillement en 2h (ben oui ça descend), en caressant des poneys et en mangeant des glaces. Au final, la promenade était de 20 km avec 1000 mètres de dénivelé positif. Les autres avaient dit que les derniers arrivés payaient l’apéro.. mais vu qu’on était persuadés d’être bien en retard, on n’a pas suivi ! De retour en ville, on prend quand même le temps d’acheter un peu de vin. Après tout, n’est-ce pas également très bientôt l’anniversaire de Clara ? ;-)


De retour à l’hostel, il n’y a personne. On est un peu déçus, on se dit qu’ils sont certainement en train de boire un verre sur la place sans nous (triste). Vers 18h, on s’interroge un peu,… Vers 19h30, on les voit débarquer, épuisés, égratignés, emboués (plein de boue quoi) et tout et tout. En fait, ils arrivent tout juste, ils n’ont jamais vraiment trouvé le chemin et se sont retrouvés perdus dans la forêt. Enfin, ils étaient assez content du verre vin à l’arrivée :-D.


Pierre, quant à lui, n’est plus si déçu d’être resté avec Clara (mais il ne l’a jamais vraiment été non plus ;)).


Le 11 août, c’est l’anniversaire de Clara !! La journée commence donc tranquillement par un chouette cours de yoga (à seulement deux). Ensuite, une bonne sieste pour se reposer et en fin de journée, un super massage thaï. Le méga bon restaurant, on l’a déjà eu à Medellin mais on ira quand même manger un bon bout. Cependant… un massage thaï ça fatigue énormément..on ira donc vite s’écrouler dans notre tente.


Nous quitterons le petit paradis de Jardin le 12 août tôt le matin. Ce village, et surtout cet hostel, resteront dans notre top 3 des meilleurs lieux (et si pas le 1er du top!).


Filandia/Salento

Mais il nous faut continuer notre exploration de cette fameuse « zona cafetera ». En voiture (pardon, en bus!) pour Filandia !


Filandia est un autre village coloré de la région, situé à coté de Salento (beaucoup plus touristique). Pour y accéder, on est parti de Jardin à 7h30 avec un bus vers Rio Sucio (3h à 20 000 pesos), le bus n’était vraiment pas top et la route encore moins (en gros, c’est une piste dans la montagne). A Rio Sucio, on prend un autre bus vers Peirera (3h à 16 000pesos), c’est la grande ville du coin. Et pour finir, un dernier bus vers Filandia (1h30 à 6000 pesos).


On se rend dans un hostel que l’on nous avait recommandé. Notre première impression n’est pas géniale... On se contente donc de déposer nos sacs en vitesse dans le dortoir, de dire bonjour aux 2-3 personnes qui y sont, et on s’en va manger une bonne viande à la parilla avec du vin !


Le village est bien joli et pas trop touristique (même s’il l’est quand même, mais plus des touristes Colombiens). On trouvera un chouette café, ou l’on peut boire des café arrangé et des canelazo (infusion de cannelle, aguardiente et sucre) sur la place principale à 8000 pesos ( env. 2€).


Le lendemain (13 août), direction Salento et le parc de la Cocora.


Une jeep vers Salento, une longue file pour acheter ses billets pour la jeep qui va jusqu’au parc, une autre longue file pour cette fois prendre la jeep (tout ça entourés d’israéliens, d’américains et de français...beaucoup de français), et nous voici arrivés à l’entrée du parc naturel. Ce parc est réputé pour ses immenses et vieux palmiers (et il n’y a pas de jeunes pour prendre la relève, autant dire qu’il ne vous reste plus que 40 ans pour aller leur rendre visite...hop hop hop!).

C’est un parc. Donc, c’est propice aux ballades et aux randonnées (plus ou moins longues). De ce qu’on nous a dit, la plupart des gens font le même tour, dans un sens ou dans l’autre. Mais nous, ah ah, on a viewranger qui nous indique un semblant de chemin le long d’une rivière un peu plus loin que l’entrée normale.


Vu qu’on est des grands aventuriers, sinon ça ne s’appellerait pas les aventures de Clapi, nous nous élançons donc dans une ballade qui impliquera des ponts suspendus, des chevaux blancs sauvages galopants au soleil couchant, des araignées féroces (en tout cas, aux toiles embêtantes pour les cheveux), des traversées de torrents, une ambiance brumeuse, des moments d’égarement, des arbres mystérieux (oui bon, les palmiers évoqués plus haut quoi), … mais on va s’arrêter là, on ne voudrait pas vous spoiler le film qu’inspirera plus que probablement ces péripéties !

De retour au point de départ, une nouvelle file pour les jeeps du retour à Salento. On fera le voyage debout derrière. Vraiment derrière : sur le marche-pied agrippés aux barres de soutient de la toiture. Sympa, et idéal pour faire la causette à son voisin de marche-pied.


Après une courte escale sur la place principale de Salento (finalement le seul endroit qu’on aura vu de la ville), nous sommes de retour à Filandia pour profiter de notre repos du guerrier bien mérité.


On pense quand même un peu à nos prochaines aventures et comment y aller. C’est qu’on doit aller à Carthagène et qu’on hésite à prendre le bus ou l’avion. Mine de rien, c’est le genre de question qui occupe vite une soirée. Mais accompagnées d’un bon apéro, ça passe encore:-)


Le 14 août, pas de pékèt ni bière, ni bouquettes... Tchantchès se passera de nous. En lieu et place, un « tour du café » avec des autres guests italiens de l’auberge, dans une finca des environs.


On se rend à la ferme par nos propres moyens en jeep/collectivo.


Après un petit café (deux pour Pierre vu que Clara n’en boit toujours pas), on nous équipe d’un poncho, d’un joli chapeau et d’un sac de récolte et en route vers les champs de café, plein de bananiers, de moustiques...et de café.


Pourquoi les bananiers vous demanderez vous ? C’est que le café, ça ne rapporte pas tant que ça. Et les bananes, ça pousse vite et ça fait un peu d’ombre au café. Une super combinaison en somme :-)


Pourquoi les moustiques pourriez-vous aussi vous demander ?...Parce que ! Enfin, Clara étant là, c’est elle qui, comme d’habitude, prend tout et sert d’anti-moustique aux autres.


En bref, on a droit à une explication du processus de fabrication du café, du plantage de la petite graine au liquide dans la tasse. On n’a pas attendu à chaque étape, sinon, on y serait encore (« allez, pousse petite graine ! Tu veux un peu de Mozart pour te stimuler ? ») et on va aller vite ici aussi. C’est que si on passe notre temps à vous décrire tout le processus de fabrication du café, on ne risque pas de rattraper notre retard et, comme l’a si bien dit la maman de Pierre, on finira le blog en Belgique…


Donc, si vous voulez en savoir plus, il doit bien y avoir quelques vidéos explicatives sur youtube et wikipédia est votre ami. Mais voici déjà quelques photos :


Au retour, chacun va diner de son côté. Les italiens voulaient aller dans un restaurant un peu hors de notre budget (et en plus il y avait un courant d’air et il y faisait bien froid, na !)


Après une petite sieste, c’est quand même le 14 août en Belgique et qu’on peut bien prendre l’apéro avec les gens de l’hostel pour fêter ça. On est donc là, bien tranquilles à prendre un p’tit verre de vin, quand tout à coup, qui c’est que voilà ti pas qu’on voit arriver ? La dream team de Jardin !! (enfin, en partie, mais ça fait quand même une fameuse et belle surprise!). Bon ben...faut aller rechercher des bouteilles du coup ! Une bien chouette soirée pour terminer notre séjour à Filandia !

C’est que le lendemain, le 15 août, on va à Pereira. Pour le coup, on a quand même un peu mal à la tête (plus 20 ans etc etc).


Pereira

Un petit trajet d’une heure, un taxi pas cher mais qu’il faut guider, et nous voilà à prendre possession de notre chambre à l’hostel Kolibri (chaque ville d’Amérique du sud en a un, ou deux, on dirait). Un hostel excentré mais très bien. Chouette chambre et tout et tout. Il n’y a pas grand monde cela dit…


Puis c’est parti pour une journée glande et récupération à l’hostel : écriture de blog, lecture, recherche du meilleur moyen pour aller à Carthagène (oui, on cherche toujours : les vols paraissent trop chers et le bus c’est 22h depuis Medellin – et il faut encore retourner à Medellin. On hésite même à aller à Cali parce que les vols sont moins chers de là...mais ça veut dire aussi se faire encore un long voyage en bus).


Le soir, c’est soirée ciné à l’hostel : « Game night ». On sait plus de quoi ça parle mais c’était bien cool !


Le 16 août, on découvre un peu plus la ville. On tombe même une agence Latam. Par acquis de conscience, on y fait un tour pour voir les prix des vols vers Carthagène et… miracle !! des vols à moins de 50 euros par personne a départ de Medellin avec les bagages et tout !


On est content mais on n’a pas les sous sur nous. La gentille opératrice veut bien nous bloquer les billets jusque 18h...après c’est trop tard pour avoir la garantie du prix proposé.


Mais on doit justement retourner en ville le soir pour assister à un concert d’une célébrité locale pour les fêtes de Pereira (10 jours avec diverses activités culturelles dans la ville).


On se met en route vers 17h30, le temps de prendre un taxi et on sera encore bien à temps pour aller chercher nos billets. C’était sans compter que c’est jour de fête, que les taxi ne courent pas autant les rues qu’on le penserait et qu’il y a des bouchons en ville...L’heure tourne, 18h approche, un rapide contact whatsapp, la GO veut bien nous attendre jusque 18h15...l’heure tourne toujours, on est dans les bouchons… on finit par descendre du Taxi et courir jusqu’à l’agence ! La GO est là ; s’occupe de nous, se plante dans le nom de Clara, doit recommencer, puis peut enfin sortir avec son gentilhomme qui attend ! Merci beaucoup gentille opératrice !


Bref, on a nos billets pour Carthagène.


Le concert nous a attendu (bon, on est encore bien à l’avance) et nous fera attendre à son tour. Plus d’une heure debout à voir la même vidéo d’attente de promotion de la ville. On sait qu’on est en Colombie, mais même les colombiens commencent à perdre patience. Heureusement que les flics sont cool ! A la question de savoir si on pouvait boire en rue on a eu droit à un sympathique : « officiellement non, mais bon, aujourd’hui c’est jour de fête... Je ne dis pas que vous pouvez hein – clin d’oeil ! ». Un passage discret devant elles en faisant semblant de cacher nos canettes fraîchement achetées sera le highlight de notre soirée. C’est que le concert pour lequel on a tant attendu, ben franchement, c’était pas vraiment notre truc…

Le 17 août sera une nouvelle journée de « récupération ». Une bonne grosse glande à lire dans les hamacs ! On règle même assez rapidement la question de notre logement à Medellin (malgré un petit hic de surbooking, mais vu qu’on a réagit à la bourre, c’est l’autre candidat à la chambre qui a changé d’hostel).


Apparemment, on a été dans un « resto chic » mais on ne parvient pas à se rappeler quoi ni où ^^


On dirait bien qu’on à recommencer à exploser notre budget...


Medellin

Le 18 août sera journée de voyage à Medellin. Pas grand-chose à dire, voyage sans histoire. Départ à 10h, arrivée à l’hostel à 18h. Chambre sympa même si sans fenêtre. Une petite bouffe dans un restaurant gras du centre et hoplà, on peut passer au 19 août !


19 août donc, c’est jour de voyage.


Les dimanches, c’est toujours des journées sans voiture à Medellin (enfin partiellement hein, pas toute la ville non plus!) C’est cool, cycliste et roller et skate et joggeurs partout (enfin, sur les parties piétonnes ».


Nous on va prendre le petit déj au centre sportif, qui est tout beau, on aurait même assez honte du Sart Tilman. Un genre de cocktail de fruit avec de la glace et du yogourt. C’est pas mal du tout.

On rentre à l’hostel, on fait nos sacs et v’là ti pas, le croirez-vous, que c’est déjà l’heure de retourner manger. Dingue dingue dingue !


Direction le Romero de Laureles pour notre dernier repas à Medellin. Ben c’est toujours aussi bon ! (et on continue d’exploser notre budget journalier par la même occasion!).


Petite glande à l’hostel puis c’est parti, en taxi, pour la navette vers l’aéroport où on retrouve...Izy, une anglaise de Jardin ! Qui va justement aussi à Carthagène ! Et on y apprend qu’une autre de Jardin y est déjà aussi ! Décidément :)


Toute la procédure d’enregistrement se fait sans souci, le vol aussi (c’est cool Latam !)


Carthagène

Arrivée à Carthagène se fait sans problème. On partage un taxi avec Izy jusqu’à notre hostel avant d’aller l’accompagner à pieds jusqu’au sien. Pour trouver un taxi, il y a une organisation pas mal. Il y a un officier préposé aux tickets en fonction d’où on veut aller. Ca permet de ne pas avoir de mauvaise surprise pas rapport au prix.

Pierre commençait à écrire la partie sur Carthagène mais je pense que là.. vous devez avoir votre dose, du coup… Suite au prochaine épisode !