C’est super accrocheur comme titre, non ?!? Et vous n’avez encore rien vu ! En fait, ça fait 2 semaines que ces premières lignes sont écrites et qu’on n’avance pas .. mais aujourd’hui, c’est le bon jour, alors en avant ! (bon, finalement, à l’heure de relire et finaliser l’article, on se rend compte qu’on a quand même déjà quasi deux mois de retard…)


Nous sommes de retour à Taipei le 7 janvier vers 16h (nous revenons de quelques jours de vacances à Hualien). Nous nous rendons à notre hostel : le Meander 1948, lieu de notre nouveau volontariat. Et bien, si on a un hostel à vous conseiller, c’est bien celui-là ! L’ensemble est tout nouveau : l’hostel n’a que 3 mois. Le personnel est super sympa et les chambres sont parfaites. Nous logeons dans un dortoir de 8. Les lits sont superposés mais nous avons chacun « un box » fermé par des rideaux opaques, deux lampes pour deux ambiances différents et une prise internationale (ça c’est la classe de ne pas devoir jouer avec des adaptateurs), mais le meilleur, c’est l’escalier pour monter dans le lit du dessus (fini les échelles!!!). Niveau sanitaires, il y a des douches avec de l’eau bien chaude, de la pression, du savon, shampoing et après-shampoing à disposition … et la classe incontestable : des toilettes japonaises avec le petit jet ou encore le siège chauffant :-)

Il y a également une salle commune, pas très grande mais bien sympa aussi et une mini cuisine ainsi qu’un petit balcon ensoleillé (le matin).


On nous donne également nos blouses de travail. C’est le petit bémol : ce sont des polos bien bien chauds qui ne vont pas à tout le monde… hum


Niveau du travail, on rencontre le gars qui fait un PVT à Taiwan et qui gère les volontaires le 8 janvier au matin. Il va un peu nous expliquer ce qu’on doit faire. Benjamin, pour ne pas le nommer, et en fait un belge (tiens!), un liégeois (re-tiens!), et même un neupréen (comme Clara!!) bon pas un plainevallois mais on ne peut pas être parfait non plus. Nous commençons avec le job de « runner », c’est-à-dire servir le petit déjeuner aux guests.


Le travaille commence à 7h (quand l’ouvreur de la réception arrive à l’heure) : le nettoyage de la salle, des toilettes, et mettre tout en place. A 8h, tout doit être prêt, car les premiers clients arrivent (le petit déjeuner est inclus dans le prix de la chambre). Ceux-ci commandent au bar et montent à l’étage (où se trouve la salle à manger – bah oui, techniquement, je ne vois pas comment appeler ça autrement...) avec un petit numéro sur un bâton et, lorsque le « runner » entend le passe plat, il court vers celui-ci, prend le plat, regarde le numéro dessus et va le porter avec une petite coupelle de fruits à son client en reprenant la plaquette. Il peut également lui expliquer la technique pour manger son plat. Dès que le client à fini (c’est lui qui débarrasse sa table), il faut nettoyer celle-ci pour le prochain. Bref, un travail de serveur. Évidemment avec cela il faut dire bonjour, demander s’ils ont passé une bonne nuit etc. etc..

Il faut également aller chercher les cafés en bas. Le rez-de-chaussée de l’hostel est un café chic. Certains achètent un café qu’il faudra monter une fois prêt (ils ont un autre numéro pour ça). Mais cette fois, par l’escalier. Le plus dur est de savoir quand il y a un café prêt ou non. C’est que c’est un « dripping café » qui prend environ 10 minutes à être fait...(à plus de 5 euros la café quand même).


La préparation du petit déjeuner peut prendre entre 10 min et 30 min suivant le cuisinier et l’heure d’affluence, il faut donc aussi gérer les voyageurs pressés.


Il faut également redescendre (par le passe plat) la vaisselle sale et aider en cuisine à faire la vaisselle quand c’est possible.


Vers 10h, lorsque le petit déj est fini, il faut nettoyer la salle et les toilettes. Si on a le temps, aller aider à la vaisselle dans la cuisine. Et puis à 11h normalement, on a fini.


Ce sera au final le principal (et seul) job de Pierre. Pour Clara, c’est plus compliqué car parler aux clients c’est pas vraiment son truc. Du coup, elle ira en cuisine (ouf!). Ce qui nous arrangera vachement car ça veut dire qu’on aura les mêmes heures de travail et qu’on aura chaque fois nos après-midi de libre pour visiter la ville et ses environs (ou pas, parce que bon, faut bien l’avouer, on est quand même parfois moules aussi ^^).


Le job en cuisine est aussi intense (si pas plus). À 7h, on a une heure pour préparer les ingrédients pour les deux petits déjeuner possibles :

- Les nouilles de riz : bouillons, nouilles de riz (ben tient), boulettes taiwanaises, tranches de lard et tofu.

- Les patates : pommes de terres et patates douces au four, formage (type ziz), sauce (tomates, oignons, ail, basilique thaï), œuf cuit un peu moins que mollet (on dit poché pour un œuf cuit vapeur?), salade et croûtons.


Donc, le matin, il faut cuire les œufs (au four vapeur à 70° pendant 20min), mettre a tremper les nouilles, puis les cuire, cuire et couper la viande, chauffer le bouillon, décongeler les patates, laver la salade. Chaque plat vient avec une coupelle de fruit qu’il faut préparer : donc découper trois sortes de fruits (fruit du dragon, guava, orange, pomme, tomate cerise, fruit de la passion,...).


A 8h, tout doit être prêt sur le plan de travail. Et on attend les commandes. On est seul en cuisine sauf les week-end où on est deux. Au début, on tournait avec une 20aines de plats par service, à la fin on en était à 55, sans grande différence entre les week-ends et les jours de semaine.

Lorsqu’on a quelques minutes, on cuit des patates. C’est-à-dire : couper en cube de ± 1 cm les pommes de terres et les patates douces (50/50), on les assaisonne (romarin, sel, poivre, huile) et on met au four à 200° pendant 25 min. Ensuite, lorsqu’elles ont refroidi, on les met dans des sacs en plastique de 100gr et puis au congélateur.

On doit faire aussi de la sauce et la vaisselle au fur et à mesure car il n’y a que 20 « assiettes » pour les patates. Du coup, il ne faut pas tomber à court !

Lorsque les plats sont faits, on les envoie à l’étage par le passe-plat et avec le numéro de commande. A 10h, lorsque les dernières commandes sont finies, on range les ingrédients, on finit la vaisselle, on fait l’inventaire de ce qu’il reste et de ce qu’il faut acheter et on nettoie la cuisine… Et on espère avoir fini à 11h (ok c’est rarement le cas).

Au niveau des collègues, on est (bien) entourés par un français, Ghazi, un péruvien, Carlos, d’une canadienne, Chloé, et de deux PVTistes (des jeunes qui ont un permis vacance-travail et qui sont donc payés : Benjamin le neupréen (et ça rime, tiens!) et Tom, un autre français avec qui on n’aura pas trop de contact. Des bons partenaires de monopoly deal pour la plupart !


Au niveau bouffe, on est bien entourés également : on est toujours dans le quartier de la gare, il y a un restaurant japonais toujours bondé juste en face, un magasin de Donut bien gras et sucré devant lequel il y a toujours une file immense (on l’a faite une fois : 45 minutes pour 4 donuts), une boulangerie pâtisserie pas trop mauvaise pour le coin à un bloc, et le principal : un Bafang à un même bloc de distance (pour les approvisionnements en dumplings et nouilles pas chères).

On est également toujours pas très loin d’un marché de nuit (mais bon, on commence quand même à en avoir fait le tour aussi). Et à 20 minutes de marche d’un autre marché de nuit, Ximen, qui est plutôt un quartier super animé qu’un véritable marché de nuit. On ira d’ailleurs y manger une soupe de nouilles au bœuf, paraît-il inscrite au guide Michelin (petite pensée pour Luc, si tu nous lis toujours...). Ça allait mais ça ne valait quand même pas nos nouilles sautées de Hualien. Au retour, on trouvera un marchand de glace italienne. Très bonne mais le gars était rat sur les boules ! (titre). On croisera également quelques artistes de rue et des magasins qui vendent du canard sous toutes ses formes (viscères, artères, becs, coeur, foie, poumon, tout ça tout ça...miam miam non?).


Dans une autre direction, également à 20 minutes de marche, il y a un autre quartier peuplé de petits restos hypes (sinon, oui, tous les quartiers sont peuplés de restos à tous les coins de rue). On ira d’ailleurs y manger des pizzas pas mauvaises du tout !


Donc, on disait que c’était cool de bosser le matin parce qu’on avait nos aprèm’ pour nous pour visiter et tout et tout. Ouais mais bon, travailler ça fatik’, et se réveiller à 6h30 du matin, ça fatik’ aussi !


Mais qu’à cela ne tienne, dès le deuxième jour, nous voici parti au bout de la ligne marron pour aller sur le téléphérique de Maokong (appelé ici la « gondola ») et sur la colline à thés du même nom. C’est cool, c’est un téléphérique dans la montagne. Comme toujours à Taipei, on est impressionnés par la vitesse à laquelle on peut passer d’un centre ville urbain (vert, certes, mais urbain quand même) à la pleine nature en quelques stations de métro. Il y a deux files : une pour les cabines avec sol en plexi et une autre avec les cabines normales. C’est le même prix mais la file pour les cabines en plexi fait 45 minutes quand celle pour les cabines normales...n’existe pas ! Après notre petite montée en gondole à 100 TWD par personne, on ira un peu flâner dans les champs de thé, mais vu qu’on est quand même crevés, on prendra une grande glace au thé et puis on redescendra en bus (moins joli, surtout debout, mais vachement moins cher). On finira par un petit resto coréen...Autant le patron était sympathique, autant on s’est rendus compte qu’on n’aimait pas trop la bouffe coréenne...pas de bol, ça paraissait pourtant être une chouette destination.

Bref, on rentre quand même pas trop tard, on est fatigués, on l’a déjà dit. D’ailleurs, il faut bien avouer c’est pas la motivation qui nous accompagnera lors de la plupart de nos après-midi de temps libre, mais on fera encore quelques autres petites excursions.


Notamment à Tamsui, autre destination à distance métroesque. Le temps d’une après-midi, on ira se balader sur la digue de Tamsui, le long de l’embouchure du fleuve du même nom. Encore plein de bouffe partout ! Du poulpe grillés et sous toutes autres formes en veux-tu en voilà ! On trouvera un super bon café pour Pierre quand même. Et on poussera même jusqu’à la plage, dans une bourgade plus au nord. Une ambiance un peu spéciale, clair brumeux, avec des immeubles émergeant des dunes au loin. L’idéal pour un shooting de mariage ? Certains ont l’air de le penser…

Au retour, ce sera sushis express !


Lors d’un de ses jours de congé « solo » (oui, on a nos aprèm’ de libre mais nos jours de congé ne tombent quasiment jamais ensemble), Pierre ira grimper la montagne d’en face de Tamsui. Un bus pris à côté de l’hostel, 40 minutes de trajet et le voici au pied du trail. Une première montée sur une première colline, et le voilà qui retrouve une bande de vieux (6 ou 7) pour un peu de google translate, de partage de nourriture, et finir par trouver deux petites vieilles dynamiques (68 et plus de 70 ans) pour l’emmener au sommet de la montagne. Et pas par la voie classique aménagée et en escalier, comme il y en a partout à Taiwan. Non, non : par une succession de collines plus ou moins raides et accidentées...avec toutefois toujours une corde pour se tenir : sont pas fous non plus, hein !


Une petite pause dîner avec vue et d’autres marcheurs et puis il accède au point de vue. Bon, on ne voit pas grand-chose avec les nuages mais c’est pas grave, l’expérience est là ! La descente se fera beaucoup plus tranquillement, par le chemin aménagé.

Parmi les attractions de la ville, il y a la fameuse tour 101. Qui est le 10e gratte-ciel le plus haut du monde (le plus haut jusqu’en 2010) avec une hauteur de 509,2 m. Nous y sommes allés, oui oui. Enfin, on est allés à ses pieds et on ses promenés dans les premiers étages. Ceux-ci sont composés d’une galerie commerçante de magasins de luxe. Vous qui nous connaissez reconnaîtrez qu’on était dans notre élément...hum. On peut également aller à l’observatoire au 89e étage. On peut y aller grâce à un ascendeur super rapide à 700NTD. On a passé notre tour, pour avoir une belle vue sur la ville et sur la tour, rendez-vous à l’ « elephant montain ». Aux alentours, c’est un quartier très moderne rempli d’une grande zone commerçante.

Taipei compte aussi un bon musée d’art (le Fine Art Museum – le Musée des beaux arts en somme) qui se situe dans un parc aménagé. Vous voyer les belles vidéos de projets d’architecture ou tout est beau, propre, où l’on voir des familles se promener, des petits vieux heureux, dans un environnement moderne et vert ? Et bien c’est un peu ça. Il y a plusieurs zones dont un style de « marché » où on a pu manger de bons dumplings (pour changer). Mais revenons au musée. Nous sommes entrés (sans le faire exprès) par une entrée secondaire, ce qui fait qu’on n’est pas passé par les caisses, mais à notre décharge, il y avait un garde à l’entrée qui nous a dit bonjour et personne ne nous a rien demandé. Du coup..et bien on a pas payé notre entrée ...pas bien (pourtant elle n’est que de 30NTD).

Le musée a plusieurs expositions intéressantes, essentiellement axées sur l’art contemporain. Nous pensions juste faire un tour, nous y sommes resté plusieurs heures (dont au moins une dans une salle vidée d’ambiance où on a somnolés – ben oui, on vous a dit qu’on était fatigués après le travail)!

Depuis Taipei, le must à faire c’est d’aller à Jiufen. C’est une petite ville proche de Ruifen où les rues sont décorée avec des lanternes. Il paraît que Hayao Miyazaki s’est inspiré de ce lieu pour Le Voyage de Chihiro lorsqu’elle arrivée dans le ville avec les adultes transformés en cochon. C’est une ville/village de montagne duquel on a une belle vue sur la mer.

Pour y aller, nous avons pris le train jusque Ruifen puis le bus (environ 60NDT pour les deux trajets), il faut une heure de route environ. On est arrivés là vers 14h. C’est bien joli, mais c’est tout petit. Et c’est surtout beau à la tombée de la nuit. On s’est un peu promené aux alentours, on a voulu aller boire un café mais il n’y avait rien à moins de 200NDT (5,5 euros) du coup, on s’est retrouvé au Family Mart qui avait une des plus belle vue de la ville. Livre en main, vue sur la mer, au chaud, on a pu admiré le début du coucher de soleil. Ensuite c’était ballade en ville au clair de lanternes. Se promener dans les ruelles transformées en marché de nuit est assez différent à la nuit tombée et beaucoup plus beau qu’en journée. La nuit tombe vite à cette période (vers 17h30), nous sommes donc rentrés assez tôt au final, vers 20h. (A refaire, on irait là plutôt en fin de journée et non l’après-midi).

Donc, nous sommes, dans cet hostel, avec des gens sympas et un accès à une cuisine. Du coup, on a fait des boulets liégeois pour tout le monde ! La partie la plus difficile était d’assembler tous les ingrédients. Nous sommes dans une grande ville avec des restaurants, snacks, etc. tous les 10m. En gros, les gens ne cuisinent pas ou très peu. Il y a des grands supermarchés (même un Carrefour!) mais il y a plus de plats préparés qu’autre chose. Après avoir fait plusieurs magasins, nous avons réunis une bonne partie de nos ingrédients pour notre menu : boulets, « frites » au four, salade, mayonnaise (maison), cookies au chocolat. Heureusement, on a le sirop de Liège avec nous. Étonnement, l’un des ingrédient les plus dur à trouver était la farine ! (Enfin, en trouver pas à 10€ le demi kg!!). Pierre ira le lendemain chez un grossiste où il trouvera notre bonheur à un prix raisonnable.

Il ne reste plus qu’a cuisiner et déguster. Bon ok, on a un peu foiré les frites au four mais déjà c’était pas des vrais frites alors !!

Ce fut une chouette soirée où un peu tout le monde à pu découvrir un bout de notre gastronomie.


Si vous calculez bien, vous vous rendrez compte que vous avons passé le nouvel an chinois à Taipei. Ce fut une expérience fabuleuse, extraordinaire, tout ça tout ça… ouais bon. En fait, c’est plus ou moins l’équivalent de notre Noël (mais sans les marchés de Noël et les décos). En gros, c’est une fête très familiale et il ne se passe donc rien dans la ville (et d’ailleurs, tout est plus ou moins fermé). Donc, si vous devez choisir un moment pour aller à Taïwan, évitez le nouvel an, sauf si vous aimez rester enfermé et manger au 7eleven.

On se fera aussi une sortie ciné. On ira voir Glass à l’un des équivalent du Kinépolis du coin. Des salles plus que correcte, un film qui commence à l’heure et les pop-corn pour seulement 20 NDT en plus que le prix du billet (difficile de dire non, en plus ils étaient bons!).


Pierre ira également à deux soirées de jeux de société. La première dans un bar...belge (tenu par des jeunes de Louvain-la-Neuve). Assez cool pour faire de nouvelles connaissances, et l’occasion pour lui de jouer pour la première fois à « Cards against humanity » (et c’est cool comme jeu!). L’autre fois, ce sera dans un café café, où on boit du café, et il pourra s’essayer à « Secret Hitler », un jeu où les libéraux doivent trouver et tuer Hitler avant d’être tous éliminés par les fascistes.


L’hostel est cool donc, et le patron Marc aussi. Il nous (aux volontaires et employés) a même offerts une soirée « thermales ». Cette fois-ci, pas question d’aller aux thermes touristiques facilement accessibles. On s’entasse à 8 dans son SUV et on s’élance, vers 21h, vers des thermes plus locaux, ouverts 24h sur 24 et...nus. Mais hommes et femmes séparés, malheureusement pour les plus lubriques d’entre-vous. On retrouve forcément des bassins d’eau chaude et d’eau froide, mais aussi des bassins de massage par jets d’eau, un sauna et un hammam. Après nous être bien détendus pendant quasi deux heures, quoi de mieux qu’une petite soupe de boulettes et des nouilles de minuit ? On vous le demande et on ne le saura pas parce que c’est tout ce qu’on a eu :-) (ce qui était déjà bien cool!).



Une autre des excursions réalisées était Yehliu. Trajet on ne peut plus facile : un bus depuis la Taipei Main station dont nous sommes voisins. C’est une ville au nord est de Taipei célèbre pour son géo-parc, qui consiste en une petite péninsule où l’on peut voir pas mal de pierres sculptée par le vent et la mer. C’était assez joli, surtout sous une belle illumination de fin d’après-midi. Il y a aussi quelques promenades à faire (toujours sur des sentiers bien aménagés) mais il faut parfois bien s’accrocher vu le vent qu’il y a. Au niveau des formes, on trouve des pierres en formes de gingembre, de champignons, de tortues, de Néfertiti etc (bon c’est eux qui le disent hein).

C’est clairement un lieu méga touristique avec son lots de cars de chinois qui crient. C’est mieux d’éviter d’y aller le week-end du coup !

Pour la petite histoire, on a eu un chien qui nous a suivi de l’entrée du site à l’arrêt de bus… On s’est demandé s’il n’allait pas monter avec nous ^^

Enfin, on sera allé faire un tour du côté de Wuili pour une dernière séance thermale. Ça se voulait un lieu un peu plus haut de gamme mais bon, il y avait quand même des gosses qui criaient et courraient partout. L’essentiel est qu’on a eu un super mini bonnet de bain qui n’arrivait même pas à couvrir le chignon de Clara:-D.



Enfin, le 11 février, nous quitterons Taipei pour aller explorer le reste de l’île.